Le Ballet de Lorraine entre les mains de deux chorégraphes complices pour une soirée double qui s’articule comme l’envers et l’endroit d’une même pièce : ce que les danseurs sont, ce que l’on en fait et comment l’on s’en sert.
La Ribot, d’abord, traite de travail et de productivité. Les danseurs sont placés dans un dispositif de collaborations dans lequel l’individu s’articule comme un corps subjectif, au service d’une machinerie chorégraphique industrielle et sociale.
Mathilde Monnier, ensuite, est fascinée par les capacités d’enregistrement et de stockage de mémoires gestuelles et imaginaires des danseurs. Son projet aborde leur répertoire commun, qui constitue une part de l’histoire de la danse.

La presse en parle

Préliminaires, La Ribot en pleine EEEXEEECUUUUTIOOOOON!
émission sur la RTS, 31 oct. 2103

SORTIR, n°3 avril 2014

L'article dans le Journal de l'adc