Dans la lignée du portrait Humpeli, créé en 2007 et qui témoignait de la passion amoureuse qui mena l’aïeule de Prisca Harsch au crime, Mordu s’ancre une fois encore dans l’amour fou. À partir des lettres de Jeanne, la chorégraphe extrait une figure de la passion tandis que le sculpteur Martin Rautenstrauch encombre en live l’espace jusqu’au paroxysme.