On se souvient de La pudeur des icebergs, présenté en 2007. Le nu comme une tenue, six danseurs, leur sueur, organes, leurs cœurs qu’on voyait battre. Daniel Léveillé revient avec Amour, acide et noix (2001): une nudité compacte et puissante pour quatre danseurs. En ouverture, un Sacre du printemps (1982) qui reste une œuvre marquante de son répertoire.

Atelier du regard animé par Philippe Guisgand
vendredi 3 mai

samedi 4 mai, complet
liste d'attente sur place

infos

La presse en parle

Tribune de Genève, critique de Katia Berger du 3 mai

Le Temps, A. Demidoff, 4 mai

RSR, Vertigo, 2 mai, T. Sartoretti

Le dossier de presse

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L'article dans le Journal de l'adc